Note : 0.5/5
Entre un humour poussif préfabriqué qui rate régulièrement sa cible, une action qui ne tient qu’à une caméra non pas portée, mais bousculée dans tous les sens, un montage hystérique dont peu de plans dépassent les deux secondes et un univers sonore tonitruant, le dernier rejeton de Michael Bay fatigue dès son introduction par ces poncifs lourdingues et ces recettes éculées dégoulinantes de gras.
A l’issue de ce moment très désagréable pour le corps et l’esprit, on a envie de découvrir Ambulacen de Laurits Munch-Petersen le film danois dont cette purge est le remake.
Et c’est là son seul mérite.